Le Maroc forme des commandos ivoiriens pour parer aux actions de déstabilisation venues du Liberia
Abidjan : Une nouvelle caserne à Olodio, dans le sud-ouest de la Côte d’ivoire, accueillera ces forces spéciales, formées chez les FAR, sur demande du président ivoirien Alassane Dramane Ouatara
Abidjan : Une nouvelle caserne à Olodio, dans le sud-ouest de la Côte d’ivoire, accueillera ces forces spéciales, formées chez les FAR, sur demande du président ivoirien Alassane Dramane Ouatara
Le Maroc ajoute des partenariats militaires et sécuritaires à ceux économiques et commerciaux, le liant, aux pays africains, la Côte d’Ivoire tout particulièrement.
Depuis le temps, quand, sous feu le Roi Hassan II, les gardes rapprochées de nombreux chefs d’Etats africains, étaient commandées par des experts marocains et jusqu’à aujourd’hui, les écoles militaires du royaume, consacrent plusieurs postes pédagogiques à des élèves officiers venus de plusieurs pays africains.
C’est le cas, à l’Académie royale militaire de Meknès, l’école royale de l’air de Marrakech, l’école royale navale de Casablanca où le collège royal des études militaires supérieures de Kénitra.
Cette coopération militaire accordée par le Maroc à ses partenaires africains, prend une tournure plus pratique et plus adaptée, à l’ère des menaces dans la région ouest-africaine, de daech, de Boko-Haram où des vestiges des groupes terroristes algériens comme AQMI ou Al Morabitoun.
Ainsi, des soldats ivoiriens sélectionnés drastiquement pour former un corps de commandos d’élite, ont été formés depuis 2011, chez les FAR au Maroc.
Selon le magazine français Jeune Afrique, ces nouvelles unités d’élites de l’armée ivoirienne, d’une centaine d’individus, devront se spécialiser dans le combat en milieux hostiles et être mobiliser pour contrer les attaques et autres actions de déstabilisation venues du Liberia voisin.
Selon la même source, d’autres unités reçoivent des formations chez les chinois et les américains et devront être mobilisés dans d’autres régions du pays.
Depuis le temps, quand, sous feu le Roi Hassan II, les gardes rapprochées de nombreux chefs d’Etats africains, étaient commandées par des experts marocains et jusqu’à aujourd’hui, les écoles militaires du royaume, consacrent plusieurs postes pédagogiques à des élèves officiers venus de plusieurs pays africains.
C’est le cas, à l’Académie royale militaire de Meknès, l’école royale de l’air de Marrakech, l’école royale navale de Casablanca où le collège royal des études militaires supérieures de Kénitra.
Cette coopération militaire accordée par le Maroc à ses partenaires africains, prend une tournure plus pratique et plus adaptée, à l’ère des menaces dans la région ouest-africaine, de daech, de Boko-Haram où des vestiges des groupes terroristes algériens comme AQMI ou Al Morabitoun.
Ainsi, des soldats ivoiriens sélectionnés drastiquement pour former un corps de commandos d’élite, ont été formés depuis 2011, chez les FAR au Maroc.
Selon le magazine français Jeune Afrique, ces nouvelles unités d’élites de l’armée ivoirienne, d’une centaine d’individus, devront se spécialiser dans le combat en milieux hostiles et être mobiliser pour contrer les attaques et autres actions de déstabilisation venues du Liberia voisin.
Selon la même source, d’autres unités reçoivent des formations chez les chinois et les américains et devront être mobilisés dans d’autres régions du pays.